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16 novembre 2012 5 16 /11 /novembre /2012 15:23

Le Parisien

 

Les artistes de la menuiserie menacés d'expulsion

 

Décidemment, tous les élus parisiens de la gauche plurielle (Verts compris) rivalisent pour prendre la défense de la dernière menuiserie de Montmartre et d'un atelier d'artiste, situés 15, rue Cauchois et 3, impasse Marie-Blanche, actuellement squattés par des artistes.

 

Le lieu, redécouvert par les élus locaux fin mars à l'occasion d'une manifestation du quartier Lepic-Abbesses (la Fête à Jacques), a retenu l'attention de la commission du Vieux Paris, qui a voté le 2 mai dernier un vœu pour qu'il soit préservé.

 

Mardi, c'était au tour de Nicole Borvo, sénatrice communiste, de prendre la plume pour solliciter l'intervention du ministre de l'Intérieur afin d'empêcher l'expulsion imminente des artistes. Réunis dans le « Collectif de gestion de la Porte-Blanche », les occupants ont en effet reçu le 31 mai la notification de leur jugement d'expulsion.

 

«Le 15, rue Cauchois appartenait à un sculpteur uruguayen, Pedro Olaizola, qui a passé sa vie à Montmartre», rappelle Nicole Borvo dans la lettre adressée à Jean-Pierre Chevènement. « Depuis sa mort, en 1984, cet immeuble ­ dont l'atelier et les œuvres du sculpteur, ainsi que l'atelier de menuiserie et d'encadrement La Baguette de bois ­ a été laissé à l'abandon par les héritiers. Lorsque ceux-ci, il y a trois ans, ont voulu faire un projet immobilier sur ce lieu, les habitants du quartier ont réuni 4 000 signatures pour s'y opposer, ce qui a gelé l'attribution du permis de démolir. »

 

Une partie des locaux remise en état

 

L'élue prend la défense des squatters, soulignant qu'ils ont remis en état une partie des locaux, réaménagé l'atelier du sculpteur en salle d'exposition, organisé des manifestations culturelles et participé à la vie du quartier... avec pour but : la mise en valeur des œuvres du sculpteur et de son atelier, et la création d'un lieu culturel et associatif. Nicole Borvo annonce enfin, ce qu'elle présente comme « un élément nouveau dans le dossier » : la sœur de Pedro Olaizola vient d'être retrouvée. Florence Hubin | 02.06.2000



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16 novembre 2012 5 16 /11 /novembre /2012 15:20

Soutien des organisateurs de la "Fête à Jacques"

 

Fete-a-Jacques_-Daniel-Vaillant.jpg

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16 novembre 2012 5 16 /11 /novembre /2012 15:13

2000 Juillet

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16 novembre 2012 5 16 /11 /novembre /2012 15:09

Les-Verts-Point-presse.jpg

 

Les Verts 18

 

Anne Le Strat (18ème) , Yves Contassot (3ème) et François Florès (19ème)

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16 novembre 2012 5 16 /11 /novembre /2012 15:05

PCF_-Prefet-de-police.jpg

 

PCF_-Prefecture-de-police-2.jpg

 

Le Préfet de police a répondu à Pierre Mansat, la même lettre que celle qu'il a adressée à Mme Nicole Borvo, Sénatrice.

 

Prefet-de-police_-PCF.jpg

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16 novembre 2012 5 16 /11 /novembre /2012 15:04

CPB-sur-projet-d-explusion.jpg

 

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16 novembre 2012 5 16 /11 /novembre /2012 15:03

Les-Verts-Voeu-au-CP-copie-1.jpg

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16 novembre 2012 5 16 /11 /novembre /2012 14:59

 

PCF-Communique-soutien.jpg

 

 

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16 novembre 2012 5 16 /11 /novembre /2012 14:56

Journal 1

 

Journal 2

 

Journal 3

 

Journal 4

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16 novembre 2012 5 16 /11 /novembre /2012 14:50

 

Journal d'Uruguay

Comment Olaizola est revenu parmi les salteños

 

Parmi les démarches que nous avons réalisées pour retrouver la famille du sculpteur uruguayen nous nous sommes adressés à la presse de son département d’origine où la répercution fut immédiate. Nous reproduisons ici une partie de l’article publié dans le journal «  El Pueblo »

 

 

« L’information publiée hier dans Pueblo sur l’intérêt particulier manifesté en France pour retrouver la famille de Pedro Olaizola, sculpteur de Salto décédé a trouvé un écho particulier.

Dans notre édition de la veille nous transcrivions le mail reçu de l’Espace Culturel Uruguayen, association qui regroupe des uruguayens résidant en France, nous informant de la découverte de 61 œuvres originales du sculpteur dans une cave d’un atelier de menuiserie de Montmartre à Paris.

 

Les Olaizola à la rédaction

A peine El Pueblo était-il paru que notre rédaction commença à recevoir de nombreux appels de tous ceux qui, portant le nom d’Olaizola, demandaient un complément d’information sur l’information publiée qui en fait se réduisait à ce qui avait été publié. Plus tard arrivèrent à la rédaction Maria Brunilda Olaizola Irigoyen , Edith Maria Rodriguez Olaizola et Julia Gregoria Rodriguez Mesa Olaizola, pour ne parler de ceux qui disposaient des papiers nécéssaires pour établir un lien avec l’artiste Pedro Olaizola, ce qui était le minimum exigé pour faire le lien avec l’association française.

 

Le cas particulier de Maria Brunilda

Il faut mettre à part le cas de Maria Brunilda qui, en définitive, est la sœur de Pedro et a fourni à notre rédaction les documents qui le prouvent.

Maria Brunilda et Pedro sont les enfants de Pedro Mari Olaizola, l’artiste étant né d’un premier mariage ( avec Joaquina Soza) le 7 septembre 1909, à 15h, selon l’acte de naissance.

Dans l’interview Marie fait référence à de vagues souvenirs : Pedro manifestant un goût pour la sculpture et le rôle éventuel de Edmundo Pratti dans la détermination de son développement artistique et même dans le voyage en France où il serait mort il y a 5 ans. C’est dans ce pays que serait née l’œuvre importante dont la valeur peut être énorme si l’on considère la quantité des pièces qui la composent.

La naissance de l’artiste à Arapey est dûe au fait que son père était bottier de la caserne locale. D’autre part on peut établir un lien sanguin direct avec le Maestro Sabas Olaizola, dont le nom fut proposé récemment pour être attribué a à L’institut de Formation des Maîtres de Salto

Des cousins aussi à Montevideo

Il faut savoir en outre que du dialogue avec nos visiteurs naît la certitude que des neveux de l’artiste disparu habitent Montevideo ; on essaiera de les localiser dans les heures qui viennent.

Pedro Olaizola avait 6 frères, Maria Brunilda est la seule survivante.

Il faut aussi faire mention d’Edith Maria et de Julia Gregoria Rodriguez Olaizola qui sont venues aussi à la rédaction du journal ; ce sont la fille de Agapita Olaizola Leite et la petite fille de Meliton Olaizola ( frère de Pedro Mari Olaizola) »

 

Avec d’autres artistes uruguayens établis en France nous avons envoyé une lettre au Président Joge Battle pour l’informer de cette affaire et solliciter son aide pour que les œuvres soient récupérées.

 

 

 

La nouvelle est arrivée jusqu'en Uruguay. Le quotidien El pueblo passait cet article en juin 2000 

 

 

Des représentants de l'Espace culturel Uruguyen sont venus nous rendre visite .

 

El-Pueblo-_sous-reserve.jpg

 

Nota bene : Concernant les relations familiales entre le professeur Sabas Olaîzola et Pedro, la question pourrait ne plus se poser, vu le courrier adressé à Sabas Olaïzola, au domicile de Pedro en 1956. Voir ici


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